RESUME deuxième partie de Héros en Hiver

Scène 17 : Pourquoi aurait-elle fait cela ?
Le bourgmestre du village montre vous montre un document officiel signé de Jamais de Commercy qui leur accorde le droit de propriété communale sur les bois de Sarrebourg. le sceau des Commercy est apposé à coté de sa signature.
Le bourgmestre vous assure qu'il ne comprend pas que l'on retrouve le sceau de la marquise de Commercy sur des lettres donnant un droit de pillage sur le village. Novae, tu signes avec lui un contrat de commerce de leur bois qui te sera livré à partir de l'année prochaine dans tes entrepots de Rambouillets.

Scène 18 : Voyage en Carrosse cahotant
Vous quittez le village pour retourner à Commercy. Vous souhaitez rencontrer la baronne. Vous arrivez à Commercy après avoir récupérer le carrosse dans l'auberge en bas du plateau. Ludo, tu te plains tout au long du voyage de cette affreuse sensation d’enfermement et de l’inconfort de l’engin. Novae, tu finis par lui promette de lui trouver un cheval de selle dès l’arrivée à Commercy.
La Ville, partagée entre deux seigneuries, jouit d’un statut juridique particulier lui conférant une quasi indépendance entre le royaume de France et les duchés de Bar et de Lorraine.

Aussitôt arrivé, Vous descendez à l’auberge « Coté jardin », se trouvant sur la rue principale conduisant au château. Novae, exaspéré par Ludo et ses plaintes, tu lui achète un cheval de selle à l’auberge.

Scène 19 : Une soirée instructive ?!?
Ludo, Phoebus et Yvan vous décidez de descendre dans les tavernes Alentour afin de rencontrer la population du coin et prendre la température sur dame Jamais. Didier, tu sors rencontrer le prêtre de l’église d’à Coté afin de te confesser. Novae tu préfères rester dans ta suite à l’auberge.

Voulant se lier en camaraderie avec la population locale des tavernes composé de bûcherons, de mineurs, de charbonnier, d'apprentis et de marchands ambulants, Phoebus tu commettez des maladresses malheureuse qui vous met à dos les habitués. Thomas, restant dans ton coin, tu observes tes compagnons avec un regard amusé. Tu gardes en travers de la gorge, la plainte de Ludo et l’achat de son cheval.

Didier, tu traverses la place pour te rendre dans l’église se trouvant dans la rue d’en face. Tu es reçu par le père Gérôme, il te reçois en confession et t’invite à partager sa soupe du soir. Vous parlez de dame Jamais et de son confesseur, le jeune frère Jean. Tu rentres pour retrouver tes amis également de retour de la taverne. Tu remarques sur eux un certain désappointement et un amusement certain sur le visage espiègle de ton vieux compère d’Yvan.

Scène 20 : Le héraut de la marquise au château !
Yvan, le matin après le bain de madame la marquise, tu te vois confier la mission de porter une lettre auprès du château. Tu y vas afin d’obtenir une entrevue avec la baronne de Commercy. Habillé de tes plus beaux atours, tu te présente aux hommes d’armes du château des remparts. Tu es reçu alors par l’intendant. Celui-ci te reçoit alors qu’il est en entretien avec le bourgmestre de Commercy. L’intendant est un homme hautain en qui tu détecte une certaine colère. Le bourgmestre Arnaud, ne se montre pas plus sympathique. L’intendant t’assure qu’il enverra la réponse à onze heures dans l’auberge.

Scène 21 : le deuxième messager !
De retour, vous vous méfiez tous de cette réponse. Didier, tu proposes de tenter d’aller voir le confesseur de la baronne. Cette entrevue est plus profitable, car du fait il rencontre en même temps sa maitresse, la baronne elle-même. Elle accepte de recevoir immédiatement la belle marquise dont elle a gardé un bon souvenir de Paris.

Scène 22 : les curieux restent à l’auberge
Yvan, et Ludo vous restez intrigué par le messager de onze heures. Vous voulais savoir qui cela va être. Restez-vous alors que, vous, Novae, Phoebus et Didier vous vous rendez auprès de la marquise.
Ludo, tu proposes de rester caché sur la place à surveiller. Vers onze heures vous voyez arrivé une troupe de 12 quidams conduits par un homme cachant visiblement son identité. Vous le voyez indiquer à ces hommes votre auberge. Vers laquelle ils se dirigent d’un pas décidé. L’inconnu restant dans l’ombre de la rue. C’est là que vous cherchez à savoir qui est cet inconnu. Montant en croupe du nouveau cheval de Ludo, Yvan tu tente en passant près de lui d’enlever la capuche de l’inconnu. Tu reconnais le bourgmestre, malheureusement Ludo trébuche dans ton mouvement et toi-même chute quelque mètre plus loin. Le bourgmestre rameute ses hommes et se jette à votre poursuite. Vous parvenez quand même à leur échapper et vous repliez au château de la baronne.

Scène 23 : au château avec la baronne !
Après les hommages d’usage et les conversations légères, Novae, tu emmène la baronne sur le sujet des villageois et du sceau. Elle ne connait que trois autre personnes ayant le droit d‘utiliser son sceau pour les affaires courantes. L’intendant (demi-frère par sa mère), le bourgmestre (son frère bâtard par son père) et un baron au nord qui gèrent en son nom des terres éloignées. Tu demande à la baronne de faire venir l’intendant. A vous deux, Didier et Novae, soufflant le chaud et le froid vous le faites craquer. Il avait profité de l’absence de Jamais pour prendre ses aises tout en donnant des largesses au bourgmestre. Il n’avait pas mesuré jusqu’à quel point.
Le bourgmestre convoqué ne viendra qu’en début d’après midi, une fois que vous tous réunis. Devant tant de preuve accablante. Le bourgmestre avoue travailler pour le Baron Jean-Baptiste d’Ornano. Vous lui faites avouer qu’à la suite de sa découverte d’un sculpteur extraordinaire muet et mutilé dans un couvent, il le fis enlever pour le compte du baron d’Ornano par les surineurs et que depuis il livre ce même baron du bois du village. Mais il n’en sait pas plus. C'est durant cet interogatoire que Novae tu revis en Flashback ce qui te vallu ta shizophrénie : la vision de ton corps de dragon, le dynosaure séquoia.
Ne jamais vous demande de reprendre son enquête avortée afin de démasquer cet usurpateur à Paris. Elle vous dit de vous introduire dans tous les milieux ou il construit son réseau avec une chance insolente.
Commerce
Salle d’armes
Universitaires
Les bas fonds
La justice
La noblesse

Ludo est Phoebus, vous décidez de vous occupez des salles d’armes et de la pègre durant le mois qui viens. Vous prenez toutes les précautions en vigueur et avancés dans chacun de ces milieu par petit pas.
Dans les salles d’armes, sous adopté chacun une attitude différente. Brillant et enflammé pour toi Phoebus, bravant tous les dangers comme tu l’avais fait sur les fronts du nord. Et toi Ludo tu te montres humble et curieux quand au combat de duelliste alors que tu es reconnu comme un des grand corsaire pour le royaume de ton temps.
Dans la pègre, vos habitude sont différentes, tous deux vous vous montrer tortueux et sans scrupule, donnant de l’argent ici et des menaces là, montant certains groupes contre d’autre en vous tenant toujours à l’écart.

Jean-Baptiste a noué d’importantes relations avec de grands militaires et de brillants duellistes français. Nombreux sont ceux qui se sont senti floués quand François de Bassompierre a été nommé généralissime des armées et ils sont prêts à faire en sorte que ça change. Grâce à ses contacts, Jean-Baptiste peut désormais compter sur une véritable milice privée en cas de coup dur. Bien sûr, si on montrait à ses hommes francs et droits que le Comte les manipule.

Jean-Baptiste est très connu dans les bas fonds, ce qui est étonnant pour un noble. C’est un mécène important pour les bandes de malfaiteurs de la cours des miracles. A de nombreuses reprises, il les a embauchés pour rendre une visite de courtoisie à un rival politique ou convaincre un commerçant récalcitrant de l’accepter comme protecteur. Ce qui frappe les malandrins, c’est la chance insolente de cet homme, il ne sait absolument pas se battre, ses gardes du corps sont moyens tout au plus et pourtant, il est sorti indemne de toutes les rencontres qu’il a pu avoir avec ceux de la cours des miracles.
De l’avis des voyous, cet homme est protégé par une bonne étoile. Dernièrement, une des victimes de Jean-Baptiste a séjourné dans les bas-fonds, un italien totalement muet dont les mains ont subi des dommages presque irréversibles. C’est bien dommage car l’homme possède un don fabuleux pour la sculpture et quand on voit ce qu’il est capable de faire avec les mains dans cet état.

Par contre, seul le chef de la guilde des voleurs, Richelieu des Gueux, saura où se trouve le sculpteur.

Yvan et Didier vous prenez en charge la pénétration de deux milieux proches, la justice et l’université. Didier, affichant tes idées progressiste en philosophie et théologie tu n’a sans aucun mal à introduire les universités comme professeur intermédiaire, Yvan ayant déjà derrière lui des années apprentissage avec le grand musicien Monteverdi, tu est l’assistant parfait de Didier. En brillant de vous même vous devenez rapidement e confident de toutes ces personnes en concurrences les une avec les autres.

Avant son accession au pouvoir, on voyait souvent Jean-Baptiste dans les bibliothèques de Paris. L’homme était connu pour son érudition mais les habitués ne pensaient pas le voir se documenter sur la magie et sur des rituels remontant aux années barbares de la France. C’est ces volumes rares, poussiéreux et rébarbatifs qui ont disparu après que Jean-Baptiste soit passé. Le seul qui a voulu porter plainte contre lui s’est tuer le jour ou il portait son accusation publiquement. Il a glissé sur les marches du palais de justice. Ce vieil érudit s’intéressé à la cabale. Ce sont des livres traitant ce sujet qui fut dérobés.

Une enquête très approfondie a été menée sur le nouveau gouverneur de Monsieur. Hélas par le palis de justice, la plupart des enquêteurs ont été retrouvés morts. La soudaine promotion de ce petit parvenu n’intrigue pas que la noblesse. Certaines sociétés plus secrètes s’inquiètent des projets de Jean-Baptiste. Pourtant, on n’a rien trouvé sur lui. Bien sûr, on se doute qu’il est mouillé dans des machinations financières, rackets et autres crimes mais pour l’instant on n’a rien.
Sauf le témoignage d’une prostituée à qui il aurait parlé. Celle-ci a disparu mais il faudrait que des preuves plus solides soient apportées. Nul ne croira la parole d’une roturière si celle-ci n’est pas renforcée par des preuves tangibles.

Novae tu fais venir ton époux à Paris. Tu lui monte un bateau sur un commerce de plantes exotique dans les différentes guildes de grand négociant. Ainsi tu es est toujours à ses coté comme épouse qui s’ennuie. Et tu fais parler tous ces négociants et leurs valets sur les sujets qui t’intéresse. Ton pauvre Maris ne sera pas le Darwin de son temps, mais cela aurait put se faire. Et les soirs de tout cela tu t’affiche en cours avec ton cher époux qui se fait si rare.
Jean-Baptiste est un homme répugnant et arrogant. Depuis qu’il a pris en main la cour autour de Monsieur, celle-ci n’est plus la même. Nul ne peut s’opposer aux décisions du nouveau gouverneur de Monsieur. Sans quoi, il se voit affublé d’une malchance impitoyable. C’est ce qui est arrivé à la Dame Jamais mais aussi à de nombreux nobles influents de la cour du Roi. Ce qui est étonnant, c’est que lorsqu’il est arrivé à la cour voilà six mois, ce n’était qu’un petit nobliau sans envergure qui fut rapidement mis au ban par les courtisans les plus influents. Ceux-là même qui se sont exilés depuis qu’il a pris les rênes.
Les courtisanes influentes ont toutes été interrogées sauf une : La duchesse de Chevreuse elle-même. Et quand on voit la haine que ces femmes portent à Jean-Baptiste, il est certain qu’aucune d’entre elles ne l’a aidé. Il reste la duchesse de Chevreuse. D’ailleurs, on trouve que celle-ci a l’air épuisé depuis quelques temps.
Jean-Baptiste est en train d’étendre son emprise sur l’économie du pays. Depuis quelques temps, il inonde un marché de l’art grâce à des sculptures audacieuses et originales. Conjointement à ses investissements dans le textile et l’armement, ça lui permet de réaliser de confortables bénéfices. Cependant, il s’est attiré le courroux des guildes de marchands qui trouvent totalement anormal qu’un noble mette son nez parfumé dans leurs affaires.

Ludo tu avais découvert qu’un homme de la pègre savait ou pouvez se trouver le manoir de d’Ornano ou doit être enfermé le sculpteur. Cet homme est le chef de la guilde des voleurs de Paris la plus influente le gantelet des voleurs, Richelieu des Gueux. Il a travaillé pour dame Jamais.
Ce dernier n’a pas confiance en vous-même s’il estime beaucoup la Dame Jamais. Il a passé de nombreux contrats avec Jean-Baptiste et, même s’il ne l’apprécie pas du tout il est bien obligé de s’incliner devant le profit que représente son association avec le monstre. Il ne se laissera convaincre que par des hommes courageux et demande à l’un d’entre eux de passer l’épreuve du Gantelet.
Il s’agit d’un parcours du combattant dans la plus pure tradition des Guildes de voleurs avec bouches à feu, fosses à pieux et autres fléchettes empoisonnées. Une avalanche de pièges tous plus retors les uns que les autres.

Ludo tu t’en sors admirablment (en usant de la magie de la terre) et Richelieu avoue où se cache Vestanzi, il vous parle également de Catherine et donne l’endroit ou elle retenue par le Jean-Baptiste qui en est tombé bêtement amoureux, pas comme sa duchesse.

Par contre il ne vous dit pas qu’il ne dira rien à Jean-Baptiste. C’est toi Didier qui plus tard y pense. Ce qui rend le sauvetage de Catherine encore plus urgent.

Ce sera in extremis que vous parvenez à sauver Catherine, Didier faisant appel à la force de la tempête pour ralentir vos 15 poursuivants de la nuit, pendant que vous bondisse sur les gardiens de Catherine dans la petite ferme isolé au sud-ouest de Paris. Vous avez juste le temps de vous enfuir avec elle.
Elle vous apprend durant la chevauchée nocturne que Le Gouverneur de Monsieur a des projets encore plus déments puisqu’on peut penser à un coup d’état orchestré grâce à l’utilisation de mystérieux golems, à la trahison d’une partie de l’armée et à un monopole économique de Paris (économie officielle et souterraine). Quand on possède la chance, l’argent, les armes et le savoir nécessaire pour un coup d’état, celui-ci ne peut que réussir.

A VOUS