Présage du 04/04/2010

Scène 1
Alina, Caty et Kreed, chassant, sauvent deux chats sauvages attaqués par trois hyène des montagnes.

Scène 2
Les 3 chasseurs entendent des coups de feu dans la zone de sécurité de la grotte. Ils s'approchent discrètement mais au dernier moment du bruit et se font repérer par les 5 chasseurs.

Scène 3
Dans le face à face avec les chasseurs, Caty échange un regard de connivence avec Kreed, elle s'élance acrobatiquement pour faire diversion, pendant que Kreed se positionne pour immobilier le leader des chasseurs. Ce qui lui permet de menacer le groupe.

Scène 4
La fuite des chasseurs amateur et la libération du leader leur permettent de se regrouper et de décider qu'il n'en parlerait pas à leur chef. Trop honte d'être défait par des adolescents.

Scène 5
Inquiétude à la grotte, pour une assrur qui serait trop proche et qui risquerait d'attirer des Idalwènes impériaux au du clergé. Kreed expose également ses interrogation sur l'énergie de la grotte sans écho auprès des autres.

Scène 6
Le groupe vote l'envoi en reconnaissance de Caty et Alina, pister la trace des chasseurs. elles sont les plus discrètes et observatrice.

Scène 7
Les deux adolescentes pistent avec grâce et félinité les cinq chasseurs. Elles découvrent alors les ruines d'un village occupé par une assrur d'une cinquantaine de personnes.

Scène 8
Le chef de l'assrur a quelque chose d'inquiétant pour Caty mais de séduisant pour Alina. Elles se rapprochent pour mieux entendre. Avec souplesse elle parviennent au plus prés de l'assrur.

Scène 9
Alina et Caty attendent qu’il ait fini de donner ses ordres. Puis discrètement, il quitte l’assrur. Les deux jeunes filles décident de le suivre. Elle rencontre plus de difficulté, l’homme et souple, discret et très attentif. Il se déplace comme un fauve dans la forêt. Elles doivent puiser dans leurs ressources vitales pour ne pas le perdre de vue ni se faire remarquer.

Scène 10
Après une heure de marche forcée, suivi et suiveurs arrivent à l’orée d’un camp militaire retranché. 9 Idalwènes sont déjà là. L’homme pisté appartient aux idalwènes du clergé. Il faut aux deux apprentis espions beaucoup de prudence pour rester au plus proche du camp. Elles ne peuvent que constater la présence d’un ornithoptère dissimulé sous les arbres au bord de la rivière.

Scène 11
Elles estiment ne pas être de taille pour approcher le camp afin d’écouter. Elles décident de rentrer à la grotte au plus vite afin d’informer leurs 4 autres amis. Autant Caty vol quasiment par-dessus les obstacles, autant Alina s’épuise dans cette course effréné, mais elle ne ralentis pas son allure.

Scène 12
Elles ont fait leur rapport. Le groupe prend conscience qu’il doit comprendre ce que préparent les idalwènes. Félix après avoir interroger les filles sur la présence d’eau au campement sous forme de rivière et après une longue maturation propose d’aller en aval de la rivière. Il souhaite tenter quelque chose.

Scène 13
Jabba transporte Félix sur son VTT, les autres courts au plus vite dans la forêt avant d’arriver au bord de la rivière avant 16h00. Seul Caty a cette grâce féline de poursuivre une longue course sans perdre son rythme. Kreed et son frère son adapté à la course sylvestre. Félix finis par choisir l’endroit en aval du campement. Un lieu où la lumière rompt avec l’ombre au milieu de l’eau. Ici le velum est plus accessible.

Scène 14
Félix plonge dans sa vision. Après avoir discrètement interverti prestement ses artefacts vestimentaires, fait sur mesure par Caty, il a phasé sa chaire, sa conscience et son essence avec l’essence de l’eau du velum.
Ses sens sont à chaque fois retournée provoquant l’instant d’étourdissement et de nausée, c’est là le moment délicat qu’il faut parvenir à passer. C’est dans cet instant fragile que l’échec se dissimule. Et en cet instant c’est l’échec que Félix rencontre. Son esprit bascule dans son univers intérieur entrainant avec lui l’esprit de ses frères et sœurs de vie.

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Scène 15
Les six incroyables marchent depuis plusieurs jours dans ce paysage de steppe humide volcanique. Ils sont épuisé, affamé et frigorifié, trempé jusqu’au os par cette pluie fine. La femme chat, la femme blanche, le narsdrok esprit, le narsdrok cicatrisant, l’ancipiel flash et le pendule, bande improbable de jeune adulte ne savent pas ce qu’ils viennent chercher en ce lieu.
Mais en haut du col entre deux collines, ils aperçoivent une masure sise a coté d’une bergerie. La nuit tombe, le brouillard monte, ils s’approchent.

Scène 16
Féline Caty s’approche de la fenêtre rêvant d’un bon bol de lait. L’intérieur semble immonde à travers les carreaux crasseux. Rien de bien accueillant. Personne n’ose pénétrer. Ils se dirigent donc vers le bêlement des chèvres.

Scène 17
Le berger trait ses chèvres inquiétantes. Lui-même, vieillard lubrique et ordurier ne montre aucun signe de l’hospitalité des montagnes. De sa bouche ne sorte qu’insulte et mots grossier. Il invite toutefois le pendule et sa clique de nécessiteux à se réchauffer dans sa demeure et du même temps de préparer la soupe.

Scène 18
Caty avec son doigté et Kreed avec sa clairvoyance psychologique prépare une soupe avec les ustensiles les plus utilisables. La maison, composée d’une seule pièce faisant office de chambre, cuisine, salle à marger et salle de bain, est d’une saleté repoussante. L’odeur est fétide. Chaque surface à l’air libre est poisseuse et collante.

Scène 19
Félix et Alina tentent de visiter le grenier, mal leur en pris, cet entrepôt de viande et légume sécher est un nid des plus folles immondices ayant rendu leur odeur les plus pestilentiels. Leur estomac ne le supporte pas. Instant de détente dans cette bauge.

Scène 20
Alina voulait sortir pour se laver au puits mais Shidra, le berger entre. Il se « lavent » (rire) les mains dans la baignoire dont l’eau doit avoir plus de 3 mois. Il s’installe à table non sans avoir couvert les invités d’insultes diverses et d’insinuation obscènes. Il est amadoué par le repas de Caty. Ils proposent aux membres du groupe de dormir dans le grenier.

Scène 21
Le coucher dans le grenier. Le groupe nettoie du mieux qu’ils peuvent le grenier afin d’installer des paillasses afin de dormir et de se reposer un peu. C’est dans ce couchage découragent qu’ils s‘endorment

Scène 22
Panique du matin. Tous, sauf Félix ont les quatre membres reliés entre eux par de solide chaine, empêchant de courir ou de faire des gestes brusques. La colère monte, ils tentent tous de se libérer d’une façon ou d’une autre. Les chaines réagissent aussitôt pour se resserrer malgré même la souplesse de la femme chat ou le feu de Félix. Finalement, ils descendent.

Scène 23
Shidra, les accueille avec un rire sadique, la maison à la lumière du jour est encore plus infâme. Il relâchera tout le monde quand sa maison sera propre. Il sort. Le groupe s’entre regarde et commence la tâche de nettoyage. Rien n’avance. C’est impossible. En fin de journée il faut se rendre à l’évidence c’est un échec. Le rêve se brise

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ECHEC !

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Scène 25
Retour dans la réalité. Félix a conscience qu’il a manqué quelque chose d’important lié à son apprentissage sauvage de l’art ancien des faiseurs. Est-ce en rapport avec le découragement ? Faut-il accepter que certaine tâche soit impossible et dans ce cas affirmer ouvertement sa volonté de ne pas les faire avant d’échouer réellement ? Il n’aura pas de réponse spirituelle sur ce point.
Mais maintenant l’eau du velum est en train de lui transmettre les voix des Idalwènes.

Scène 26
Pure écoute de Félix du commando d’idalwènes. Le commando sur les ordres des services opérationnels du clergé d’Eibron tente de piéger des humazatz en les obligeant à venir aider une Assrur créé pour cet effet. Aucun des membres de l’assrur ne sont au courant qu’ils servent d’appât. De toute façon dans les deux jours qui viennent, si les humazatz n’ont pas mordu, ils élimineront les 50 personnes de l’assrur. Ils tenteront avec un autre groupe ailleurs.

Scène 27
Un débat animé éclot dans le groupe des adolescents du club. Il y a un choix à faire. Faut-il aider l’assrur, ou faut-il laisser l’opération suivre son cours. Les deux narsdrok sont partisan de la non-intervention, alors que les autres souhaitent avertir au plus tôt les pauvre gens qui vont droit au carnage. Un vote est effectué et le groupe décide d’intervenir.

Scène 28
Félix, après s’être à nouveau phasé avec le velum, après avoir traversé l’angoisse et la nausée ou plusieurs univers se superposent au-delà des sens, et tout cela lié à une déplacement de ses vêtements, il parvient a capturé le dialogue possédé par la mémoire de l’eau. Il sait que celle-ci pourra être restituée, lorsqu’elle sera versée dans un récipient. Il souhaite emmener ce dialogue pour convaincre les acapymist dirigé par l’idalwène.

Scène 29
Les membres du groupe non équipé partent de nouveau en courant, Jabba et Félix devancent le groupe grâce au VTT et à la maitrise de Jabba.

Scène 30
Jabba et Félix arrivent à 500 mètre de l’assrur et croisent le chemin de l’idalwène rentrant. Ils se dissimulent juste à temps et lui tire dessus espérant le retenir en attendant que les autres arrivent. L’idalwène réagit aussitôt, foudroyant.

Scène 31
Jabba et Félix ont réussit à retenir l’idalwène mais la parti est inégale, heureusement les jumeaux, Caty et Alina contre-attaque prestement et en mettant toute leur énergie dans cette attaque. Violent, brutale l’homme dans un dernier sursaut pivote promptement et frappe ceux encore à sa porte. Laissant Wayllander et Jabba blessé gravement.

Scène 32
Caty et Jabba perçoivent un système de détection de vie se mettre en marche sur le corps de l’idalwène. Ils le neutralisent leur laissant 1h30 de marge pour affronter et convaincre les acapymist. Il traine le corps jusqu’au milieu du camp.

Scène 33
Le groupe d’adolescent utilise la manière autoritaire pour rassembler autour d’eux toute la population de l’assrur. Ils sont hébétés par la vision de leur chef mort. Ils sont prés à entendre.

Scène 34
Félix et Wayllander parviennent à convaincre les pauvres citadins voulant se faire aventurier de retourner au sein des lois de l’empire. Des associations s’occuperont d’eux. Ils prennent conscience qu’ils ne sont pas taillés pour ce monde sans loi, ou seul règne la capacité d’adaptation la plus rapide et la plus discrète. Kreed détecte dans le groupe un jeune homme de 17 ans qui sera capable de comprendre la stratégie de repli et de conduire la troupe jusqu’à Snurde, la grande cité au sud-ouest d’Eibron.

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Scène 35
14 mois passent, ou la vie quotidienne reprend son cours pour ces six adolescents troglodytes. Une année de plus vers l’âge adulte. Encore quatre ans avant de pouvoir retrouver la civilisation. L’équilibre est revenu, la vigilance est plus grande dans ce monde ou même ceux de l’impérium viennent violer les droits les plus fondamentaux des donanymes dans ce monde ou toute loi a été abandonnée.
Les six adolescents découvrent que les pouvoirs qui était les leurs dans les dimensions onirique, immatériel du velum et virtuel des machine devinent réel dans le monde matériel. Ils sont devenus des mutants.

Scène 36
Un autre matin, comme tous les autres. Caty et Kreed sont les premiers levés. Tout est normale Caty prépare les nouveaux vêtements qu’elle a cousus retrouvant les gestes de sa maison détesté, les Molas. Puis tout à coup tout s’éteint. Plus rien ne fonctionne électriquement dans la grotte, même l’élémentaire de terre protecteur du lieu est affaibli. La grotte est en danger.

Scène 37
C’est le branle bas de combat, tous se lève dans le noir. Les torches électriques sont allumés, les vêtements enfilés vite fait, chacun cherche dans la grotte un moyen de sauver les réserves, de vérifier que ce n’est pas une attaque d’intrus, de parcourir le tunnel inexploré. Caty et Jabba finissent par trouver un vieil entrepôt ou sont entreposer des batteries à l’acide de secours. Ils font passer toute la grotte sous le système de secours. Cela ne tiendra pas plus de 2 semaines. Il faut trouver comment restaurer le système électrique de fond.

Scène 38
Le groupe s’attèle a regrouper toutes les informations qu’ils peuvent trouver aussi bien sur le réseau restauré que l’observation de la provenance des fils. Au bout de deux heures de travail, ils déduisent que le courant est fourni par une centrale électrique hydraulique devant se trouver dans les ruines de la vieille ville de Rourdran, détruite comme beaucoup par la guerre des nations et abandonnés. Rourdran est à 150 kilomètre au sud sur un plateau forestier inférieur (3000 m) au leur (4000 m).

Scène 39
Le groupe décide du moyen de s’y rendre. Ils finissent par choisir l’utilisation de l’autogyre. Ils emportent avec eux quelques fusils et pistolet ainsi que les deux écrans à facilié pour els jumeaux. Caty ne se sépare jamais de son fouet devenu son blason.

Scène 40
Une fois l’autogyre chargé et prêt, Jabba le pilote choisi Alina comme copilote. Elle sera chargée de voir toute manifestation insolite durant l’heure et demie du voyage.

Scène 41
Alina le copilote aperçoit juste à temps patrouillant autour des ruines une centaine ornithoptère de combat appartenant à la maison Elichandress. Jabba, le pilote décide de se poser discrètement dans une petite clairière au nord de la ville. Dans une zone à 2 km de la zone de sécurité de ce qui semble être un blocus (Alina et Félix). Une fois au sol, Wayllander et Kreed s’inquiète de ce qui arrive.

Scène 42
Une nouvelle discussion au pied de l’autogyre sur la démarche à suivre. Il faut passer le blocus pour trouver la centrale. Mais qu’est-ce qui se passe ici ? Qu’est ce que ce blocus dans une zone de non droit ? Il est décidé de s’avancer prudemment jusqu’à être dans les ruines.

Scène 43
Le groupe de damoiseaux et de damoiselle s’approchent de la ville en ruine. Ils tombent sur un des points de contrôle du blocus des militaire Elichandress. Ils avancent en file indienne sur les pas de Caty, la plus discrète de tous. Les soldats sont disséminés sur un grand espace en artilleurs. Ils sont soutenue per une DCA sur les hauteurs. Deux fois, les adolescents ont du éliminer les militaire a deux doigt de les découvrir. Il en fut ainsi pour Kreed et Alina ainsi que Wayllander. Ils ne sont repérés qu’à l’abord de la ville par la DCA. Ils durent leur salut aux talents de camouflage de Caty. Wayllander aidé par les pouvoirs occultes de Félix soigne les blessés.

Scène 44
Le mode de déplacement dans les ruines reconquis par une végétation pauvre et torturée est la furtivité. Caty est au centre du déplacement, mais les autres tentent de trouver des traces de signe leur indiquant ou peut être la centrale hydraulique, et les sens en éveil pour survivre dans ce milieu de plus en plus hostile. D’autant plus que l’atmosphère des ruines est malsaine. Il y a quelque chose d’autre que les militaires, quelque chose d’impalpable rode. Des ombres inquiétantes. Quelque chose appartenant aux guerres meurtrières du temps des nations a été réveillés. Le velum, pour Félix est fragile en ce lieu. Seule Alina étrangement n’en ressent pas le coté malsain.

Scène 45
L’attaque a lieu lors de leurs arrivé sur ce qui ressemble à la vieille place centrale. Dans les ruines des anciens buildings éventrés des coups de feu sont tiré. Le groupe se disperse pour s’approcher a revers, mais sorti de nulle part bondissent des créatures nus qui n’ont plus rien d’humain comme retourné comme une chaussette leurs chaire est à vif. Alina et Wayllander sont blessés par les ongles acérés des monstre ni mort ni vivant. Il faut toute la témérité de Kreed, les pouvoirs de feu de Felix pour retourner la situation. Caty s’étant débarrassé rapidement de son adversaire repoussant bondis tel le chat dans le building d’où venaient les coups de feu. Rejoint par les autres membres du groupe, il font fuir les créatures qui s’en prenait à trois hommes au bout du rouleau.

Scène 46
Les trois hommes se présentent comme des survivants d’un ensemble de tribus acapymist ayant vécu dans les ruines depuis une centaine d’année. Tout à basculer il y a moins d’un mois. Sur les 2000 personnes, il ne doit en resté de vivant qu’une centaine d’égaré dans l’ancienne ville. Ils ne peuvent plus sorti des militaire leur tir dessus et la nuit les monstre sortes des sous-sols pour les dévorés ou les emmené. Kreed et Félix perçoivent que ces personnes sont des mystiques, mais la nuit s’avance et il faut survivre.

Scène 47
Tout le monde dormira dans les sommets attaché au plafond, là ou les contaminés ne viendront pas. Caty leur demande s’ils savent ou se trouve une centrale hydraulique. Les trois hommes ont l’air d’appeler cela le temple.

Scène 48
La nuit est longue, peu reposante et remplis des bruits immondes des créatures. Ces créatures ont du être humaine avant de succomber à une mystérieuse maladie. Caty surveille et les sent, Alina veille et les ressent.

Scène 49
Au levé du deuxième soleil dissipant les dernières ombres de la nuit noire et de la nuit rouge du premier soleil, tout le monde redescend au sol. Ils obligent les trois hommes à leur montrer le temple de la place se trouvant en sous sol. On y descend par une large rampe 20 mettre au moins pour arriver devant une porte en bois noir de la forêt de Faragorn. Derrière la porte le temple et surtout une vaste salle construite au dessus du fleuve dont on entend l’écoulement et on sent la fraicheur. Au loin, 300 mètre au bout un autel et trois loup devant une autre porte. Les trois hommes refusent d’avancer pour ne pas déranger les trois anges. Il faut être pénitent quand on en rencontre !

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Scène 50
Le groupe s’avance dans la monumentale salle, un temple certes, mais un temple pouvant accueillir pas moins de 10000 personnes. Les trois hommes restent en arrière apeurés.

Scène 51
La porte du fond est en métal. Les adolescents entendent derrière le bruit d’une centrale hydraulique, il y a un petit barrage derrière cette porte qui est bien une centrale électrique. Les trois loups se métamorphosent. C’est une ancipielle, un humanorde et un homme. Ils sont nus. Ils sont beaux. Ils sont venus constater les dégâts sur leur centrale électrique cachée. Elle était cachée et entretenue par les superstitions des acapymist de la ville, créer et entretenue par eux même afin d’alimenter les grottes.
Révélation : Félix, comme beaucoup avant lui est le résultat d’une expérience, d’un projet appelé Pendule. Le clergé cherche à créer un éonite libre qu’ils pourront contrôler. Eux-mêmes au fait de ce projet tente depuis 50 ans de le court-circuiter. Mais tous les pendules ont disparus. Par contre c’est la première fois que le pendule ne se retrouve pas seul et qu’un phénomène de mutation est observé. Cette observation divises le peuple des hautes montagnes, les humazatz, les donanymes au deux natures. Un certains statuquo règne pour l’instant dans le peuple des hauts qui attend son guide des étoiles.
Mais pour l’heure, les trois ingénieurs humazatz ont besoin d’un écran à facilié pour remettre la centrale en marche et surtout lui permettre de fonctionner encore une dizaine d’année sans entretien. De plus, ils ont découvert qu’un clanique Elichandress de nouvelle-Faragorn le duc Savalen d’Etalagiez, Il voulait parvenir à créer une race de super soldat chimiquement et génétiquement modifié. Ils ont fait leur expérience dans cette Assrur. Cela à mal tourné créant ces créatures plus morte que vivantes. Les militaires ont été renvoyés pour les contenir et observer l’expérience, maintenant constatant le fiasco, il envoie des bombardiers pour tous détruire.

Scène 52
Il reste 70 survivants, les 3 humazatz demande aux adolescents de les trouver et de les conduire au sud, ou ils vont pouvoir passer pendant qu’une troupe d’humazatz fera une diversion.

Scène 53
Le bombardement commence, la fuite vers le sud est engagée. A l’endroit indiquer les adolescents trouve les 70 derniers rescapés conduits par un prêtre totalement fanatique. Félix essaye de le convaincre pendant que les autres usent de leur intimidation pour contenir la foule apeuré. Mais une bombe explose sur le prêtre qui est définitivement dispersé. Grace à l’intervention des trois hommes qui les ont vus parler aux anges, les adolescents parviennent à convaincre la petite troupe de les suivre.

Scène 54
Cette scène est la longue traversée au milieu des bombardements et des affrontements de corps a corps avec une troupe peu entrainée et apeurée. Mais la stratégie est finalement gagnante est 40 personne finalement traverse et son accueillis par les humazatz. Les trois humazatz du temple avertissent les PJ qu’il leur faudra quand même entretenir leur électricité de secours, des coupures peuvent avoir lieu dans les 4 dernières années qu’il leur reste à vivre dans la grotte.

Scène 55
Retour à la grotte, les adolescents sous leur avatar joignent le naashaliste Jim Connors, leur contact dans Eibron pour révéler l’affaire du clanique Elichandress et la monstruosité de Rourdran.

Les PJ savent maintenant qu’ils sont des mutants. Ils se retrouvent, surtout Félix, un pendule être au centre d’une manipulation politique pour laquelle s’affronte au moins le clergé avec les trois théophranes, la tête de l’imperium avec l’empereur qui a été assassiné et les humazatz. Il y a eu une centaine d’autres pendules depuis 50 ans, ils ont tous disparu.
Le jeune empereur qui a l’âge des PJ n’a pas encore repris les rênes du pouvoir qui reste à la main de la régence des 3 théophranes et du Terrecenter, l’assemblée des claniques. Pourtant quelque chose frémis de ce coté là. L’affaire révéler par le naashaliste va jeter un certain trouble dans l’imperium. Pourquoi les maisons voudraient des soldats capables de concurrencer les idalwènes de l’empereur ou du clergé.
Il apparaît que le clanique appartenait à une société secrète la « société de Thenard » qui est totalitariste, raciste et méprisante. Cette société est organisée comme une pieuvre.

Totalitarisme est le système politique d’un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée ni aucune solidarité locale ou régionale. L’individu doit se retrouver seul et méfiant vis-à-vis des autre, omis l’unique phare du gouvernement, dans lequel l'État tend à contrôler la totalité des activités de la société. Seul des élus supérieurs et immortels peuvent cultivé le donanyme en les considérant comme un troupeau à organiser.

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La partie a duré 7h30. Une scène a duré 10 minutes en moyenne.

Scène 18: ... tandis que le pendule, Alina et Jabbawockee rangeaient la maison. Wayllander en ce même temps... testait le canapé.

Il n'y avait pas trois mais quatre loups (d'apres moi)